27 novembre 2015

21 novembre 2015

Les 100, le 21é jours

 
 
 
Le roman est différent de la série bien sûr, car il faut plus de matière pour faire une saison de 22 ou 23 épisodes alors que l'histoire doit intégralement tenir entre les pages du livre.
Ce n'est pas forcément très cohérant dans le sens où je ne pense pas qu'on puisse passer sa vie à bord d'une station spatiale puis débarquer sur Terre sans la moindre phobie, ni allergie. D'un autre côté, l'auteur ne pouvait peut-être pas s'étendre sur autant de détails. Elle avait d'autres choses à raconter.
C'est une bonne histoire. Je pense quand-même que le livre aurait mérité soit un meilleur éditeur, pour éviter l'emploi de "elle" à la place de "il", ou un meilleur traducteur, pour le respect de la concordance des temps.
Quant au terme "né-terre", il ne veut rien dire. Personnellement j'aurais utilisé le mot "terrien".

19 novembre 2015

Dire, Ne pas dire

 
 
Merci Messieurs de l'Académie Française pour cet excellent livre. Nous avons bien besoin d'être recadré quant à notre façon de nous exprimer. Par exemple, entre deux noms, pour exprimer la possession, il faut dire "de" et non pas "à" comme dans "Le Château de ma mère. En revanche, je vais devoir perdre l'habitude de dire "sur Paris" car c'est faut. La bonne expression pour indiquer le lieu où un est, ou celui où on se rend est "à Paris".
Le Français qui est une langue si précise qu'elle était parlée à travers toute l'Europe par les plus grand de ce monde, devient du grand n'importe quoi à cause d'une éducation qui se perd et d'une culture de plus en plus limitée. Nous employons des mots ou des expressions à mauvais escient par méconnaissance du sens exacte.
Á ne surtout par manquer de lire l'introduction de Jean D'ORMESSON qui rappelle à juste titre que "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement. Et les mots pour le dire arrivent aisément". Autrement dit, si on se sent frustré de ne pas pouvoir dire ce qu'on à dire et qu'on n'est pas compris, il faut s'interroger quant à la qualité de son vocabulaire.
Je pense le plus grand mal de la personne à l'origine du slogan des magasins Carrefour. L'optimisme est un nom, pas un verbe.
 

17 novembre 2015

Seigneur, pourquoi sont-ils si stupides ?

Encore un drame, de la souffrance et du malheur. Encore l'expression aberrante de la haine et tout ça pour quoi ? Au nom d'une foi ? Mais dans quel but ? Qu'espèrent-ils à tirer dans le tas, sans discernement ? Sont ils si fières d'être des tueurs de masse ? Comment peut-on croire qu'une divinité, quel qu'elle soit, puisse vouloir cela ?
Cela fait le bonheur des médias qui en font une édition spéciale au journal du soir, que tout le monde va regarder avec avidité. Tout heureux de nous montrer le visage du mal qui se vante, tout sourire dans une vidéo You tube, de massacrer des mécréants, de confession musulmane. Ça ne les aura pas protéger, les pauvres !
Se battent-ils au nom d'un idéal ? Pour protéger un peuple ? Un mode de vie ? S'ils se battaient pour des terres ou des richesses, au moins ce serait compréhensible bien que tout aussi injuste.  Mais là, même sans vouloir excuser, je ne comprend pas leur motivation. Je crois que se sont tout simplement des sociopathes qui cèdent à leur pulsion meurtrière, des êtres foncièrement mauvais sans foi ni loi. Ils n'ont pas d'excuses. Je ne crois pas au diable mais je crois aux êtres diaboliques.
Leur existence est-elle une réponse de Mère Nature à notre surpopulation ? Á notre arrogance ? Ou sommes-nous monstrueux dès le départ ? Un cancer rongeant la planète ? "Tolérance" n'est pas un vain mot pour moi, mais face à une telle absurdité, j'en deviens misanthrope. Les dinosaures ont eu la sagesse de disparaître; ne devrions-nous pas en faire autant ?

"Le fanatisme est un monstre qui ose se dire le fils de la religion" VOLTAIRE
Comme c'est curieux, nous ne nous sommes pas beaucoup renouvelé depuis la fin du XVIIe et le début du XVIIIe siècle.

05 novembre 2015

L'Écorchée

 
 
Par Donato CARRISI
Qui n'a jamais rêvé de disparaître ? ... Euh, moi.
Mon côté obscure de la Force c'est de lire des romans extrêmement noirs voire glauques et horrifiques. C'était trop bien !
Nous y retrouvons l'enquêtrice Mila VASQUEZ qui travaille au service des personnes disparues, sept ans après l'affaire du Chuchoteur. C'est un personnage abîmé, attiré par les ténèbres et c'est probablement cela qui la rend si efficace. Mais attention ! Á contempler les abysses, les abysses vous contemplent en retour.
Quoi qu'il en soit, Mila VASQUEZ va devoir comprendre pourquoi des disparus réapparaissent pour tuer et démasquer le Maître de la nuit. Garde ! Les apparence sont trompeuses !